Faustine, 14 ans, voltigeuse depuis l’âge de 11 ans
« Je fais de l’équitation depuis que je suis petite. Mais un jour, en colonie de vacances, j’ai participé à une initiation à la voltige, et ça m’a donné envie d’en faire. C’est un sport qui mélange tout ce que j’aime : la danse, la gym, la souplesse, la relation avec le cheval… Il faut beaucoup de complicité avec son cheval, car on se laisse porter par lui. Si on tombe, on se fait rarement mal, car le sable par terre amortit le choc. »
Clique sur les images pour découvrir les figures de Faustine et de son équipe :
- Anouk, l’entraîneuse de Faustine, commence par échauffer son cheval, Domino. Il galope en cercle autour d’elle, tenu à la bonne distance grâce à cette longue lanière, qu’on appelle une longe. (© V. Gire / Milan presse)
- Faustine s’échauffe elle aussi avant de passer devant le jury du concours. Avec son entraîneuse, elle rassure son cheval, un peu stressé par le public et la musique. (© V. Gire/Milan presse)
- C’est parti ! Faustine enchaîne les figures, comme se tenir à genoux sur le cheval au galop. Le jury, assis au bord du cercle, note chacun de ses gestes. (© V. Gire/Milan presse)
- Puis, la jeune voltigeuse présente son programme libre. Elle a choisi le personnage de Cruella, sur la musique des 101 Dalmatiens. (© V. Gire/Milan presse)
- La voltige est aussi un sport d’équipe ! Pour leur programme libre, Lucie (15 ans), Faustine, Georgia et Nina (11 ans) se sont déguisées en amazones, ces guerrières de l’Antiquité. (© V. Gire/Milan presse)
- Les « amazones » se concentrent pour ne pas tomber. Elles ont fini troisièmes du concours, un résultat encourageant pour l’équipe ! (© V. Gire/Milan presse)
Noé, 11 ans, voltigeur depuis l’âge de 6 ans
« J’ai démarré l’équitation à l’âge de 2 ans, dans le club équestre que dirige mon père. Mais, très vite, j’ai eu envie d’essayer la voltige. Ça demande de faire une grande confiance au cheval, et aussi au longeur, qui guide le cheval et lui donne la bonne vitesse. Il y a un lien très fort avec le cheval : on est obligé de s’adapter à tous ses mouvements, car on n’a pas de selle ni d’étriers pour se tenir sur son dos. »
Clique sur les images pour découvrir les figures de Noé et de son équipe :
- Noé débute sa prestation devant le jury. Il est en confiance : son entraîneur, qui tient la longe, c’est aussi… son papa ! (© V. Gire/Milan presse)
- Mister Jazz, le cheval de Noé, doit savoir garder le bon rythme et ne pas se laisser perturber par ce qu’il se passe sur son dos. (© V. Gire/Milan presse)
- Dans l’équipe de Noé, il y a aussi Juliette (en orange) et Quetza (en rouge), 11 ans toutes les deux. Comme Quetza est la plus légère… c’est souvent elle qui se retrouve en l’air ! (© V. Gire/Milan presse)
- Après chaque épreuve, les voltigeurs prennent le temps de remercier leur cheval : c’est un membre de l’équipe à part entière ! (© V. Gire/Milan presse)
Anouk Dory, l’entraîneuse de Faustine
« Pour ce sport, il faut beaucoup de souplesse. Je demande d’ailleurs à mes élèves de faire une heure de gym par semaine, en plus des entraînements de voltige. Mais le plus important, c’est la relation avec le cheval : sans cheval, pas de voltige ! Ce sont les voltigeurs qui le brossent et le préparent, et ils s’échauffent en courant à côté de lui, pour se mettre à son rythme.
Ce sport apprend l’esprit d’équipe, contrairement à l’équitation traditionnelle, où l’on est tout seul sur son cheval. Et en plus, il a un côté artistique qui met des étoiles dans les yeux ! »
Chez les voltigeurs de haut niveau, comme ici avec l’équipe de France, les figures sont souvent très spectaculaires ! (© Photolesgarennes)
François Athimon, conseiller technique à la Fédération française d’équitation
« Le principal intérêt de ce sport, c’est qu’on utilise l’énergie du cheval pour réaliser le plus beau mouvement possible. On pourrait le comparer à un sport de glisse, comme le surf : le cheval, c’est la vague ! D’ailleurs, dans les concours, un quart de la note est attribué au cheval.
Le cheval est dirigé par un longeur, qui fait lui aussi partie de l’équipe. Il doit connaître par cœur la chorégraphie des voltigeurs, pour guider le cheval à la bonne allure, au bon moment.
Fabian et Anna, deux jeunes voltigeurs allemands, lors de la Coupe du monde 2018. (© Photolesgarennes)
C’est un sport qui peut se démarrer très tôt, dès 4 ou 5 ans. Pas besoin d’avoir fait de l’équitation avant ! En Allemagne, par exemple, on démarre l’équitation par la voltige. C’est pour cela que les Allemands sont très forts dans ce sport. Mais en France aussi de plus en plus de clubs équestres proposent des ateliers de voltige, car cela donne de l’équilibre aux apprentis cavaliers, et cela leur apprend à faire confiance au cheval. »
I like taking care of horses.
jan nais fais cun fois mais j’adore
moi j’adore tout les sport a cheval ou a poney love horse
😉 🙂 🙄 ❓ Bonjour moi aussi j’adort l 😳 a voltige se la vie
tes nul Baleze les chevaux sont les meilleur!! 🙂 🙂 🙂 🙂 🙂 😉 😀 😀 ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗ ❗
J’adore l’équitation j’aimerais beaucoup en faire mais c’est trop cher
Je fait aussi de la voltige !!! 😮 😮
g enviede faire ce sport car tt cours bien!! J’adore !! I Love You!!!
moi je fais de la voltige en compétition
ceci regarde trops dangereux pour moi! mais bien fait pour les autres qui faisent cela! ????
Ces Chevaux Sont Balezes
J’adore l’equitation
merci
Je fais aussi du cheval, moi c ‘ est a CERNAY 😛
j adore la voltige je trouve que c est extraordinaire