Moon le panda
L’histoire
Puni en raison de ses mauvaises notes à l’école, Tian, 12 ans, passe ses vacances chez sa grand-mère au lieu d’aller à un stage de jeu vidéo. Là-bas, au cœur des montagnes chinoises, il se lie d’amitié avec un panda, qu’il baptise Moon.
1jour1actu a aimé :
– Les moments de complicité entre le jeune héros et le panda : depuis Mia et le Lion blanc et Le Dernier Jaguar, le réalisateur Gilles de Maistre est habitué à ce genre de scènes entre humains et animaux sauvages. Il les filme magnifiquement. Des scènes craquantes (quand Moon dévale un mini-toboggan) ou émouvantes.
– Les décors splendides : les montagnes sont majestueuses et la végétation verdoyante. De quoi s’émerveiller et prendre un bon bol d’air pur.
– L’évolution de Tian : il va peu à peu se désintoxiquer des jeux vidéo et se réconcilier avec sa famille. Une histoire touchante, sans méchant, qui manque toutefois un peu de suspense.
Dog Man
L’histoire
Afin de sauver un policier et son chien, tous deux gravement blessés, un chirurgien prend l’initiative de les… fusionner. Il coud la tête du chien sur le corps de son maître. Ainsi naît Dog Man. Il a pour mission d’attraper Monpetit, un chat maléfique qui a réussi à se cloner.
1jour1actu a aimé :
– L’humour incroyablement délirant : le point de départ (un héros moitié chien, moitié humain) suffit d’ailleurs à s’en convaincre. Ce film d’animation, mené à un rythme effréné, s’autorise les gags les plus fous. Même les buildings prennent vie et se rebellent. Aussi drôle que spectaculaire.
– L’aspect visuel : les personnages ressemblent à des figurines en pâte à modeler alors qu’ils ont été créés par ordinateur. Quant au graphisme, très simple, il reste fidèle à celui de la BD à succès dont le film est adapté.
– Le message : bien qu’ils se détestent, Dog Man et Monpetit devront unir leurs forces face à un ennemi encore plus redoutable. Une jolie ode à l’entraide et à la solidarité.
comment les jeu video fait les « updates »
J’ai Dog Man dans ma TV ! Mais le film est en québécois !