Le titre anglais, Tomorrowland (« la terre de demain »), fait référence à une section du tout premier parc Disneyland. Une section composée d’attractions liées au futur et que Walt Disney a créée en 1955. L’idée de ce film part donc de là : Brad Bird (le réalisateur des Indestructibles) a eu envie de plonger le spectateur dans un univers étonnant, merveilleux et amusant.
« À la poursuite de demain », un film des studios Disney (2015 Walt Disney Pictures. All Rights Reserved.Image by Industrial Light & Magic)
Un monde parallèle
Tout commence quand Casey, une adolescente brillante et rebelle, découvre un pin’s mystérieux. Il suffit qu’elle le touche pour se retrouver propulsée dans un monde parallèle, Tomorrowland, situé quelque part dans l’espace et dans le temps. Cette cité étonnante, ce sont des génies scientifiques qui l’ont bâtie au milieu du XXe siècle. Ils espéraient construire un avenir meilleur pour les habitants de la Terre. Hélas, aujourd’hui, la ville est laissée à l’abandon et c’est à Casey que revient la lourde mission de la faire renaître. L’ado sollicite alors l’aide d’un inventeur grincheux, fatigué (George Clooney), qui participa à l’époque au projet Tomorrowland.
Un message d’espoir
Ne craignez rien : l’histoire paraît un peu complexe, mais elle s’éclaircit au fur et à mesure. Elle invite le spectateur à s’évader, l’entraînant dans un voyage surprenant et fantastique. Poursuites endiablées, combats contre des robots prenant forme humaine : les cascades s’enchaînent à vive allure et c’est aussi palpitant que drôle. Mieux qu’un simple divertissement d’action et de science-fiction, le film amène aussi à la réflexion. Optimiste quant à l’avenir, il explique que c’est aux humains de prendre leur futur en main. Le monde a besoin de rêveurs, d’inventeurs généreux, non pas de créateurs de bombes. C’est le seul moyen pour que disparaissent un jour la pollution et les guerres. Un message d’espoir auquel on a envie de croire.
Laurent Djian
Découvre la bande-annonce du film ici :
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